Tirer les enseignements de la crise du COVID dans nos relations avec le Grand-Duché de Luxembourg, c’est l’objet de la note que j’ai fait parvenir à Amélie de Montchalin pour :
- dresser le constat de notre interdépendance dans la relation de voisinage, qui a connu des atouts et quelques couacs durant ces deux mois
- plaider une nouvelle fois en faveur d’un interlocuteur français unique, ayant rang de délégué interministériel
- intensifier notre politique de codéveloppement, dans deux secteurs-clés où il serait juridiquement possible d’avancer vite : les modes de garde des enfants et la prise en charge de la dépendance
- créer un statut spécifique du télétravail en zone frontalière
- avancer conjointement sur l’offre de formation au regard des besoins du marché de l’emploi de part et d’autre de la frontière.